C'est vrai et urgent. La vie privée, l'autonomie et la liberté d'expression ne sont pas considérées comme des droits mais vues simplement comme des privilèges. La réalité est que les politiciens ne toucheraient pas à ces questions si la vie privée était encore considérée comme une valeur culturelle fondamentale. Nous devons tous travailler à inverser cette tendance rapidement.