Sora 2 vient d'introduire le partage des revenus pour les titulaires de droits. Pendant longtemps, l'approche adoptée par les grands laboratoires d'IA concernant les données a été : « extraire d'abord, s'excuser ensuite. » Lorsque Sora 2 a été lancé, des centaines de milliers de vidéos étaient générées avec des personnages protégés par des droits d'auteur provenant de presque toutes les grandes franchises. Mais en raison d'un immense retour de bâton, ils introduisent maintenant un partage des revenus sur option pour les titulaires de droits d'auteur. En surface, cela ressemble à un geste de bonne volonté. Mais ce que cela signale vraiment, c'est quelque chose de beaucoup plus profond : même OpenAI commence à reconnaître qu'ils ne sont pas au-dessus des lois. Lorsque le modèle le plus puissant du monde commence à indemniser les titulaires de droits, cela signifie que l'ère de « extraire d'abord, s'excuser ensuite » touche à sa fin. Des centaines de ces applications IA défilables arrivent de Meta, Google, et d'autres en 2025-2026, ce qui signifie... La demande de licences est maintenant à son plus haut niveau, et une entreprise bien positionnée pour arbitrer et sourcer ces données deviendra une licorne. La thèse ici est que Kled pénétrera le marché grâce à un concept novateur de "téléchargez votre pellicule photo et soyez payé" et sera le premier à atteindre 1 million d'utilisateurs. Et en même temps, nous adapterons notre produit pour collecter des ensembles de données plus spécifiques de ces utilisateurs qui peuvent orienter ces modèles d'IA vers un avenir plus propre et légalement sécurisé.